Posée entre la mer Méditerranée et le bassin de Thau, dominée par le Mont Saint Clair et parsemée de canaux, Sète « île singulière » de Paul Valéry où l’eau est omniprésente est aujourd’hui une ville bien singulière. Et non, il n’y a pas que la plage! Art, culture, ville portuaire, traditions, gastronomie locale ont su donner une identité forte à la ville.
Je n’avais jamais vraiment pris le temps de visiter Sète. J’y étais déjà passée, trop rapidement, la fuyant au cœur de la saison estivale, mais je ne soupçonnais pas autant de richesses. En septembre, le collectif #EnFranceAussi s’est rendu à Sète suite à l’invitation de l’office de tourisme de la ville. Pendant trois jours, nous avons exploré la ville, ses environs et découvert ses spécialités culinaires. Je vous propose ici une balade sétoise, au fil de l’eau et de l’histoire, des rues et des gens rencontrés. De plus, septembre est un mois parfait pour la découvrir : le soleil est encore bien présent mais la horde de touristes a disparu.
Cette histoire de Sète
La présence humaine autour de la lagune de Thau est attestée depuis la Préhistoire, durant l’Antiquité les Grecs et les Romains se sont installés non loin (à Agde ou Balaruc par exemple) et le Mont Saint Clair servait de repaire ou de refuge aux navigateurs, aux pirates et aux corsaires. Cependant, la ville de Sète ne voit officiellement le jour qu’en 1666 par décret royal. Dès le début du XVIIe siècle, le roi Henri IV cherche un nouveau port à construire en Méditerranée suite à l’ensablement des ports d’Aigues-Mortes et Narbonne. Dans les années 1660, Pierre-Paul Riquet en charge de la construction du Canal du Midi reliant Toulouse à la Méditerranée cherche le point d’arriver de son canal côté est tandis que Colbert recherche où installer une nouvelle place forte dans la région. 1666, la ville de Sète est née, les grands travaux commencent. Cependant, la ville ne prit réellement son essor qu’au XIXe siècle avec l’arrivée du chemin de fer. A cette époque les deux passerelles en bois sont également remplacées par des ponts.
Vous verrez parfois l’orthographe Cette sur de vieilles cartes ou affiches. L’orthographe définitive de la ville n’a été adoptée qu’en 1928. Pendant plus de 200 ans, les deux écritures sont présentes: Sète viendrait de settim, en phénicien, le lieu boisé surplombant la mer ; Cette viendrait de cetus, en latin, le cétacé – dans les deux étymologies on retrouve l’évocation du Mont Saint Clair, cet endroit boisé en forme de baleine haut de 175 mètres, belvédère naturel pour surveiller le passage des vaisseaux et des galères mais aussi un lieu sacré qui accueille depuis le XIIe siècle un oratoire devenu chapelle en 1861. Quant à la croix en ciment électrifiée, elle a remplacé en 1932 l’ancienne croix en bois.
Découvrir l’histoire de la ville avec une visite guidée?
Prenez part à la visite guidée «Sète histoire là » organisée par l’office de tourisme tous les mardis sous forme de parcours et énigmes. Durée : 1h30 – Tarif : 6€
On peut également parcourir le centre-ville à la recherche des œuvres du MaCO, le Musée à Ciel Ouvert de Sète, un parcours de fresques street art jalonne la ville. Voici une carte interactive des œuvres dispersées dans la ville disponible en cliquant ici. L’office de tourisme propose un dépliant pour une visite libre et organise également une visite guidée du MaCO tous les jeudis.
Sète un port
Le môle St Louis est la toute première infrastructure du port construite entre 1666 et 1680. Le Phare du même nom situé au bout du môle voit le jour en 1700 (il sera électrifié en 1933). En 1821, le brise-lame est construit en demi-cercle d’une longueur de 2,5 kilomètres. Il sera prolongé à la fin du XIXe et agrandi dans les années 1980. Le vieux bassin du port qui servait autrefois de port de commerce est aujourd’hui dédié à la navigation de plaisance.
Visite du Phare St Louis, 120 marches. Consultez les horaires ici.
La ville a été construite pour être le nouveau port important de la région au XVIIe siècle et il l’est encore de nos jours. Sète est aujourd’hui le deuxième plus gros port de Méditerranée. Jadis, les étoffes, les épices, le sucre, le bois ou le tabac transitait par Sète. Sète a aussi été le premier port d’importation de vin et de tonnellerie à la fin du XIXe siècle. Le port accueillait également un grand nombre de morutiers qui partaient pêcher la morue au large de Terre-Neuve. De nos jours, les installations portuaires voient encore transiter le vin et les produits forestiers, mais aussi des fruits ou des voitures neuves. Sète est également le premier port d’exportation de viande bovine.
Le port de pêche contient une flotte de quatorze chalutiers, neuf thoniers et 26 petits métiers. Les chalutiers et les petits métiers sortent quotidiennement en mer pour alimenter la Criée de poissons bleus (sardines, anchois,…) ou de poissons blancs (daurade, sole, loup – ailleurs appelé bar). Jusqu’en 1967, le poisson était vendu principalement par des femmes, à même le quai au retour de pêche. En 1967, la Criée est inaugurée et sera d’ailleurs la première criée informatisée d’Europe. Les poissons sont vendus dès le retour des bateaux aux enchères descendantes (loi de l’offre et la demande).
Le port abrite neuf thoniers qui pêchent exclusivement du thon rouge de Méditerranée au large de Malte ou des Baléares. Les thoniers sont soumis à un quota et une saison de pêche qui ne dure qu’un mois – entre le 25 mai et le 25 juin. En 2018, le quota pour l’ensemble des thoniers français de Méditerranée était de 4392 tonnes (dont 2000 pour les thoniers sétois). L’ensemble des thons rouges de Méditerranée pêchés par les thoniers sétois est destiné à l’exportation pour le marché japonais.
Le port voit également passer des bateaux de croisière : un paquebot effectue une liaison régulière entre Sète et Tanger en 36 heures (passagers et voitures).
Quoi de mieux qu’une balade en bateau pour découvrir la ville?
Canauxrama (circuit bleu) explore le port et les canaux de la ville, en allant jusque dans la lagune de Thau. La promenade est très agréable, le bateau stable et le guide drôle.
Attention au passage sous les ponts… enfin, allez-y, et vous verrez !
Durée : 45 minutes – tarif plein : 10€
La Criée ne se visite plus. On l’approche durant la croisière Canauxrama et on aperçoit les portes, l’une bleue, l’autre blanche, où sont livré les poissons… bleus ou blancs ! Vous pouvez en apprendre plus en visitant le site du port de la ville en cliquant ici
Chalutier Louis Nocca
Depuis 2014, Francis Nocca, ancien pêcheur, a transformé son chalutier pour accueillir des visiteurs et faire découvrir son ancien métier tout en conservant ce patrimoine sétois. Et quelle riche idée ! Salle des machines, passerelle, cuisine, couchettes de l’équipage (6 hommes), petit film retraçant la journée d’un pêcheur (départ : 2h du matin, retour 17h),….
5€ – accueille également un public scolaire
Plus de renseignements en cliquant ici.
Sète art et culture
Sète ne serait pas la ville qu’elle est sans les hommes et les femmes qui l’ont façonnée. De Louis XIV à Georges Brassens bien sûr mais aussi ces vagues d’immigration venues de Catalogne, d’Italie ou d’Afrique du Nord. Sète ville de culture a vu naître et grandir le poète Paul Valéry, le comédien Jean Vilar et le chanteur-compositeur Georges Brassens.
Après avoir déambulé dans les ruelles du centre-ville, je me suis rendue au cimetière marin. Sa renommée le précède et il était tel que je l’imaginais : blanc, sous le soleil écrasant, en toile de fond le ciel bleu et le bleu de la mer. Quelle dernière demeure magnifique. De belles tombes et d’immenses caveaux accueillent ici les Sétois, et notamment Jean Vilar, comédien, acteur et metteur en scène et directeur de théâtre mais aussi Paul Valéry, écrivain, poète et philosophe dont le poème Cimetière marin donnera son nom définitif à l’ancien cimetière St Charles où il repose.
Cependant, même si Brassens dans sa Supplique pour être enterré à la plage de Sète (1966) avait souhaité que « [son] cimetière soit plus marin que le sien [celui de Paul Valéry ]», ne cherchez pas sa tombe au Cimetière Marin, Brassens repose au cimetière Le Py situé boulevard Camille Blanc, qui fait face au bassin de Thau.
Pour en savoir davantage sur Paul Valéry ou Georges Brassens,
vous pouvez visiter le Musée Paul Valéry (entrée : 6,10€)(près du cimetière marin)
et l’Espace Brassens (entrée : 5,80€)(près du cimetière Le Py).
Sète cuisine
Mais Sète ne s’est pas uniquement construite sur la réputation des célèbres personnes, elle s’est surtout façonnée petit à petit avec ses habitants issus de plusieurs vagues d’immigration méditerranéennes. Et qu’amènent tous ces gens dans leurs valises? Leur patrimoine culinaire! Ces mélanges gastronomiques ont donné une cuisine tournée vers la mer, riche et colorée, telle une mosaïque de peuples et de recettes.
Les premiers habitants sont originaires de Catalogne, de Provence et du nord de l’Hérault. Les Catalans amènent dans leurs bagages leur savoir-faire concernant la salaison des poissons. Les Provençaux quant à eux apportent la cuisine des légumes. Il semble que cette première population se soit installée sur la face nord de la ville, près du bassin de Thau, où la pêche était abondante et les eaux moins houleuses que celles de la Méditerranée. C’est d’ailleurs là que l’on trouve les bases de la cuisine sétoise, une cuisine de pêcheurs exploitants les seules ressources en abondance dans les environs tels que les produits de la mer : coquillages du bassin, daurades, moules farcies et encornets farcis, bourride à la baudroise (lottes), seiche à la rouille, soupe de poisson.
La conserverie Azaïs-Polito, dernière conserverie artisanale de produits de la mer de Sète fondée en 1963, nous a fait découvrir sa brandade de morue, ses rillettes de sardines, ou encore sa soupe de poisson de roche à la rouille. Un régal ! Visite de la conserverie et dégustation tous les jeudis – réservation fortement conseillée.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur leur site internet en cliquant ici
Au XIXe siècle, la ville voit arriver plusieurs vagues d’immigration italiennes ; avec eux arrivent une cuisine savoureuse. Certains pêcheurs italiens viennent de Gaeta, un village dans le Golfe de Naples. Ils transmettent à la ville une recette qui est de nos jours incontournable : la tielle. Il s’agit d’une tourte en pâte à pain garnie de poulpes cuisinés à la tomate. Cependant, si dans la région napolitaine on trouve des tielles de poulpe, de sardines, de moules, d’anchois ou des tielles sans produits de la mer (scarole et pignons, œufs et courgettes), à Sète on n’en connait qu’une seule : la tielle au poulpe. Il ne faut toutefois pas oublier qu’à l’origine la tielle est considérée comme la nourriture d’une communauté pauvre. Il faudra attendre les années 1930 et le succès des tielles de la famille Pages-Virducci pour que le reste de la population sétoise soit conquise. De nos jours encore, ce sont les descendants d’Adrienne Pages et Bruno Virducci qui sont aux commandes des fabriques artisanales de tielles de la ville (familles Virducci, Dasse, Cianni).
Ces immigrés italiens amènent également avec eux une tradition culinaire du sud de l’Italie, et qui Italie, dit pâtes ! La macaronade est un plat de macaroni à la sauce de tomates épicées servies avec trois viandes. Ce plat est encore très présent sur les tables familiales sétoises et il existe même une confrérie protégeant l’authenticité et le savoir-faire de cette cuisine unique : la Confrérie des Mille et une Pâtes dont les maîtres-mots sont le goût, la qualité et l’authenticité.
Pour en savoir plus sur cette confrérie rendez-vous sur leur site internet
Vous trouverez également des produits italiens de qualité à l’épicerie fine de la Maison Politi installée à Sète depuis 1948: pâtes et ravioles faites maison, charcuterie, fromage, chocolat, ….
Des cours de cuisine sont également dispensés sur place.
Enfin, c’est dans les années 1960 que Sète voit s’installer la dernière communauté qui finira de forger son identité : la communauté pied-noire quittant l’Afrique du Nord pour s’installer dans le sud de la France. C’est de cette communauté qu’est originaire Gaston Bentata créateur des fameuses Zézettes de Sète. Ce biscuit est une adaptation familiale d’une recette de biscuits préparés à Oran en Algérie. Le biscuit long est créé dans les années 70, la marque est lancée en 1997, et quel succès ! Vous ne connaissez pas ? Il s’agit d’un biscuit long et sec parfumé à l’arôme de vanille fait à base de farine et de vin blanc. La société s’est depuis peu diversifiée en créant des biscuits salés : les kémias (ailleurs on appellerait ça des tapas). On en trouve pour tous les goûts : kémias à la tielle, kémias à l’olive noire, kémias au roquefort, etc
N’hésitez pas à passer commande sur le site de la marque les Zézettes de Sète
La cuisine d’aujourd’hui n’est pas en reste à Sète, voici d’autres adresses qui ne vous décevront pas :
- restaurant Oh Gobie, qui saura assaisonner les poissons fraîchement pêchés. Deux belles terrasses à deux pas de la criée.
- Leelou vous propose une cuisine simple, saine et gourmande dans un adorable restaurant à l’esprit brocante. Pour l’anecdote, tout se chine chez Leelou, toute la vaisselle ainsi que tout le mobilier sont en vente !
- Glaces de la Bouline, des glaces artisanales fabriquées par Lydia Benito avec des produits nobles et de qualité.
- Maison Janicot, une épicerie précieuse où trouver tout ce qui se fait de mieux à Sète.
- Halles et manger. Au cœur des Halles, cuisine fraîche, colorée, variée. Assiettes généreuses. Propose aussi des escapades dans les environs avec des paniers pique-niques (Halles et pique-niquer) et des cours de cuisine.
Pour faire vos achats gourmands, rendez-vous aux Halles qui abritent le marché de la ville et où vous trouverez tous les produits nécessaires pour cuisiner ou à ramener en souvenirs. Les Halles servent aussi de lieu de vie et de rencontre : n’hésitez pas à faire comme les Sétois, installez-vous sur les tables disponibles et mangez sur place après avoir acheté de quoi pique-niquer!
Et le vin dans tout ça ? Je ne suis pas amatrice de boisson alcoolisée mais je me dois de citer le joli cadre dans lequel nous avons passé une soirée à découvrir les produits de terroir cités auparavant. C’est le Domaine du Mas Rouge à Vic la Gardiole qui nous a fait découvrir ses locaux et visiter ses caves avant de nous faire découvrir ses muscats de Mireval et de Frontignan et sa gamme de vins. Mais moi, je n’y connais rien.
Sète eau-là aussi
Mais il n’y a pas que la mer Méditerranée à Sète ! Côté nord, la ville est bordée par le bassin de Thau. Attention, le bassin de Thau n’est pas un étang mais une lagune aux eaux salées, car un étang ne communique pas avec la mer. Et oui, il est relié à la mer par deux canaux situés à Sète et Marseillan. Malheureusement, changer les habitudes semble compliqué, même si on lit parfois Bassin de Thau, il semblerait que le terme étang de Thau soit plus que largement répandu.
Long de 20 kilomètres et profond d’environ 5 mètres, les 7500 hectares du bassin abritent les parcs conchylicoles et ostréicoles installés sur la rive nord, à Loupian ou Bouzigues. La production annuelle de 13000 tonnes d’huîtres et de 3000 tonnes de moules permet de maintenir 2000 emplois directs sur le bassin.
Acheter ou manger des moules et des huîtres chez le producteur : Atelier & Co à Loupian
(ouvert d’avril à octobre)
La moitié du territoire du bassin est classée en zone protégée et abrite une biodiversité riche. Preuve de la très bonne qualité des eaux de la lagune, on peut y rencontrer un habitant très discret: l’hippocampe. Pas évident de l’apercevoir à l’œil nu cependant ! Avec un peu de chance, de la patience et une eau bien claire vous les apercevrez par groupe de huit à douze individus. Ils ne migrent pas et restent toute l’année dans le bassin. La lagune de Thau abrite la plus forte population d’hippocampes d’Europe.
La pêche à la daurade qui se déroule chaque année mi-octobre lorsque les poissons migrent du bassin vers la mer est une véritable attraction ! Non pas pour les poissons mais pour les dizaines de pêcheurs à la ligne installés de part et d’autres du canal ! A voir !
Au sud du bassin de Thau, la réserve naturelle du Bagnas (site Natura 2000) abrite plus de 240 espèces d’oiseaux, de passage ou nicheurs. N’hésitez pas à vous arrêter sur les aires aménagées ou à suivre une visite guidée organisée sur place pour en apprendre plus sur ce lieu préservé entre les stations balnéaires de Marseillan-plage et du Cap d’Agde. Et même s’ils ne nichent pas à cet endroit, on y croise parfois des flamants roses ;).
La réserve ne pouvant être parcourue librement, pour suivre une visite guidée, rendez-vous sur le site web de la réserve du Bagnas. – visite de 2h : 4€ / visite de 3€ : 6€ – réservation indispensable
La lagune de Thau est séparée de la mer par le lido, une longue et fine bande de terre de plus de douze kilomètres de plages au sud de la ville, entre Sète et Marseillan. Grâce à un projet titanesque, cette plage constamment attaquée par l’érosion a pu être sauvée grâce à un plan de sauvegarde et de réhabilitation : le lido a été ensablé et des plages sécurisées ont été aménagées.
Non loin de Sète, à Balaruc-les-bains, O’balia le premier spa thermal de Méditerranée accueille les personnes à la recherche d’un peu de détente. Attention à ne pas confondre le spa O’balia (le truc sympa avec les bains à remous et les massages, un espace bien-être de 2200m² et des bassins à 31 ou 34°C) et les thermes de Balaruc-les-bains, premier établissement thermal de France avec 43000 curistes par an et seule station thermale de Méditerranée spécialisée en phlébologie et rhumatologie. Je me suis trompée de lieu… je me suis sentie seule devant les portes closes de l’établissement thermal… Les bienfaits de ces eaux riches en oligo-éléments sont connus depuis l’Antiquité, les Romains connaissaient déjà Maimona, nom antique de Balaruc. O’balia me semble une très bonne alternative si vous trouvez l’eau de la mer un peu fraîche hors saison! Et comme personnellement, j’adore les eaux à plus de 30° comme en Hongrie ou à Rennes-les-bains, c’était parfait !
O’balia – pass 2 heures : 17€
Sète auberge là
Notre groupe a eu a chance de loger dans un cadre sublime au Georges Hostel, un ancien immeuble entièrement rénové et aménagé en auberge de jeunesse très chic: deux grandes salles communes (dont un café ouvert à tous), patio, cuisine, chambres individuelles et familiales ou dortoirs. Et tout ça en plein centre ville historique!
Retrouvez sur cette carte interactive toutes les adresses dont je vous ai parlées :
Je vous invite également à lire les articles des autres blogueuses invitées lors de ce week-end à Sète, nous n’avons pas toutes pris part aux mêmes activités.
- Sylvie – « Sept activités à Sète » sur son blog Le coin des voyageurs
- Mitchka – « Passer un weekend parfait à Sète » Fish&Child
- Mathilde – « Les spécialités culinaires de Sète » sur son blog Voyager en photos
- Estelle – « Sète au fil de l’eau » sur son blog Curiosity Escape
- Corinne – « Blogtrip à Sète » sur son blog Provinciale du Sud
- Sophie – « Tomber sour le charme de Sète » sur son blog Escapades amoureuses
- Paule Elise – « #EnFranceASète un weekend solaire » sur son blog Deux dames et un van
- Sabrina – « Comment Sète m’a réconciliée avec la Méditerranée » sur son blog Que le Voyage commence
- Madeleine – « Balade gourmande au fil de l’eau » sur son blog Jeune & Affamé
Ce séjour à Sète a été réalisé dans le cadre d’une invitation de l’office de tourisme de la ville de Sète et de l’archipel de Thau que je remercie chaleureusement pour son accueil.
Je reste cependant libre de mes écrits.